Nom*: Sazuki
Prénom*: Kadaj
Surnom: Aucun particulièrement
Âge*: 18 ans
Sexe*: masculin
Race * : Démon
Sexualité* : Hétéro
Profession *: étudiant
Caractère*: Même si Kadaj est un démon est qu'il favorise (normalement) les endroits sombres et la désolation, la souffrance et la mort, il préfère voir le monde sous un jour plus joyeux et innocent. Il déteste voir des personnes qu'il aime être en danger, souffrir ou être en dépression, même si il est lui même un bon expemple de dépressif. D'un naturel froid avec les personnes qu'il ne connait pas, il peut devenir des plus sympathique si l'on sait se montrer gentil avec lui. Bien que le jeune homme aime se battre, il fait tout pour éviter de se battre avec quelqu'un, de peur de le tuer. Car même si il n'en a pas vraiment l'air, une bagarre avec quelqu'un pourrait vite se transformer en tragédie, car Kadaj ne sait plus se contrôler lorsqu'il frappe un adversaire.
Physique*: Fin mais musclé, cela fait de lui un adversaire redoutable si une bagarre se déclenche. De plus, il est rapide et extrêmement agile. Il a des cheveux blonds en piques désordonnés et des yeux d’un vert émeraude brillant unique. Il mesure environ un mètre soixante-quinze. Son visage est toujours, ou presque, impassible. En apparence d’un air innocent il se révèle être en fait quelqu’un d’assez rebel. Il a un tatouage sur le côté droit de son ventre qu’il essai de dissimuler aux yeux des autres la plupart du temps. Mais sa caractéristique la plus étrange est le fait qu’il ait dans le dos deux ailes d’ange noires d’à peut près un mètre cinquante chacune qu’il peut faire apparaître ou disparaître lorsqu’il le souhaite.
Histoire*:
Pour tout dire, je n’ai jamais vraiment eu de parents. Enfin…si, à se qu’il paraît j’en ais, mais pour moi ils sont morts. Morts et enterrés, même si le soir, en rentrant de cours, ils sont là, bien vivants. Mais le seul geste qu’ils aient jamais eut avec moi, c’est coups de poings, coups de tête, coups de pieds. Me battre, c’est tout se qu’ils savent faire. Je suis sûr que se ne sont pas mes vrais parents, c’est impossible. Ils m’ont toujours dit que la raison pour laquelle ils me frappaient était que je ne travaillais pas assez bien ! Mais pourtant, je suis dans les dix premiers de ma classe, sur trente deux élèves. De toute façon la seule raison que j’ai de penser que se ne sont pas mes vrais parents est que, le soir, dans mon lit, je fais un rêve…toujours le même, il revient sans cesse hanter mes nuits. Je suis dans une voiture. La route défile à grande vitesse dehors. Il n’y a personne à part nous sur la route, il fait nuit noir, et quand je regarde par la vitre, je vois une forêt de sapins sombres qui passent, sans arrêt. Le ciel est parsemé d’étoiles brillantes de mille feux. J’aime bien cette vision, sa me détend, en plus tout est calme, j’entends que le bruit de la voiture qui ronronne. C’est mon père qui conduit, et ce n’est pas le même. Ma mère est juste sur le siège de droite, et elle me regarde en souriant. Moi je veux lui rendre son sourire, mais lorsque je lui souris, il y a un flash qui me fait mal aux yeux et je me réveille en sursaut avec un mal de tête pas possible. J’ai déjà voulu en parler à mes parents, mais ils ne mon pas cru, et comme tu dois t’en douter, c’était une belle occasion d’utiliser se prétexte pour me frapper une fois de plus. Alors après j’en ais parlé à Yusuké, mon meilleur pote. Il avait beau dire qu’il me croyait, je savais bien qu’il n’était pas sincère. Personne de croyait que mes parents étaient les faux, que les vrais étaient morts. De plus mes parents disent à tout le monde que je suis le plus merveilleux des fils du monde, qu’on ne pouvait pas rêver mieux. Ils ne disent pas, par contre, qu’ils me battent tous les soirs, ou quand ils ont envient de se déchaîner, quand l’équipe de foot à mon père perd un match, ou qu’ils se disputent entre eux. Pour eux, je suis comme un objet, rien de plus, un misérable insecte qui est venu pourrir leur existence, et que bientôt tout sera réglé. Je le sais bien, ma mère me le dit toujours. Tu sais, tu es le seul à qui je dis tout, qui m’écoute, qui me crois. Sa fait longtemps qu’on ne c’est pas vu tous les deux. Combien ? A peu près deux ans non ? Mais si aujourd’hui je tais ressortis de ton tiroir, c’est que je vais m’enfuir, et que je voulais marquer ces mots pour que tu le sache, pour que tu ne t’inquiète pas. Mais je t’emmène, tu sais très bien que jamais je ne t’abandonnerais, surtout pas toi ! Sa fait déjà deux mois que je supervise ma fugue, j’ai tout préparé, il ne reste plus qu’à croiser les doits pour que sa marche ! Dit moi, sa fait combien de temps qu’on se connaît, tous les deux. Cinq ans, six ans ? J’ai toujours dit sur tes pages se qui m’arrivait tout les jours. J’ai fait se dernier texte, en espérant que quelqu’un le retrouve et puisse faire quelque chose contre ces monstres ignobles qui me servent de parents, en espérant que celui qui lira ça me croira…mais le temps n’est plus à l’écriture, j’entends mon père qui monte l’escalier, courage ! La dernière fois que se sadique pourra poser ses sales mains sur mon visage, la dernière fois qu’il me donnera des coups de pieds dans le ventre à me faire gerber mes tripes. Je veux juste dire avant que je te mette dans mon sac que j’espère pouvoir réécrire quelque chose sur tes belles pages après ma fugue. Et puis de toute façon, j’ai l’habitude de me faire frapper, ne t’en fais pas pour moi ! Allez, il est là ! Vivement vingt deux heures !
Je n’aurais jamais dû quitter la maison !! J’aurais mieux fait de rester sagement dans ma chambre à me faire battre par mes parents sans ouvrir la bouche. Mais non ! A la place de sa, il a fallut que je n’en face qu’à ma tête et que je parte loin de ma maison. Mais quel con je suis, quel con !! Tu vois je voulais réécrire sur tes pages, mais en d’autres circonstances. Ici, tout est noir, humide, il fait froid, vraiment froid, j’ai l’impression que je vais geler sur place, je me demande si je pourrais finir se texte avant de finir congeler. Il fait tellement sombre que je me demande si je n’écris pas à chaque fois sur la même ligne. Ce qui se passe ? Je vais te le dire. Je vais d’abord commencer part le début, quand on c’est échappés de chez-moi, tu t’en rappelle ? Bien. Ensuite, j’ai courut dans la nuit, au bord de la route, sans me retourner. Le temps défilait lentement. Un petit peu même trop pour moi. Le lendemain matin, je courrais toujours, faisant des pauses de dix à quinze minutes toutes les deux heures. Puis je me remettais à courir, courir. Je n’avais plus de notion du temps, et je ne savais pas ou j’allais. C’était comme si mon cœur, lui, le savait mais ne voulait pas me le dire. Après trois jours, une vieille femme ma recueillie chez-elle. J’y suis resté un soir puis je suis repartit. Je n’ai même pas pris le temps de me demander si mes parents essayaient de me chercher. En tout cas, je suis mieux là, à me crever la santé plutôt qu’à me faire frapper sans aucune raison ! C’est ce que je pensais à ce moment là…quel abruti ! Ici, je ne sais pas ou je suis. Combien de temps est-ce que j’ai courus avant de finir là ? Deux semaines ? Et depuis combien de temps je suis là ?...Je n’en sais strictement rien. La seule chose que je sais, c’est que rien ne pourrait faire plus mal que se que je suis entrain de subir. Ne me demande pas quoi, je ne le sais pas moi-même ! Sa a commencé quand se type est venu vers moi. Un grand type aux cheveux argentés, des yeux rouges comme des rubis enveloppé dans un grand manteau noir. La seule partie visible de son corps était ses yeux ainsi que son front. Sa bouche et son nez étaient recouvert par une écharpe déchirée. Sur le coup, j’étais sidéré, puis j’ai commencé à m’inquiété. De l’autre côté de la route, il était là, entrain de me fixer de ses yeux rouges sang. Alors pourquoi il me regardait moi ? J’étais tassé au fond du restaurant et il y avait plein de gens autour de moi, mais il ne semblait pas les regarder. Comme si c’était moi qui l’intéressais, tu vois ? Les gens semblaient jouer au même jeu que lui. A la limite, qu’ils le regardent d’un air indifférent, j’aurais laissé passer, mais là ! On aurait dit que c’était un fantôme, personne ne le voyait ! Les gens passaient à travers lui, comme de l’air, du vent. Pareil lorsqu’il traversa la route, les voitures passaient à travers lui. Et il continuait de me fixer, encore et encore. Lorsqu’il arriva devant moi, j’étais tassé au maximum au fond de ma chaise, recroquevillé sur moi-même. Je vis ses sourcils se plisser légèrement vers le haut et j’entendis un grondement rauque, comme de la craie que l’on fait dérailler sur un tableau, comme si on râpait ses dents sur de la craie, que l’on frottait ses ongles sur un tableau. Se devait être un rire, mais qui me donna des frissons. Je n’avais pas réussi à parler. Je l’ai juste vu s’approcher un peu plus de moi. Il avait défait son écharpe, découvrant ainsi deux magnifiques crocs. Il s’approcha encore plus de moi. Je voulus crier, appeler à l’aide, mais aucun son ne sortit de ma bouche, ne franchit mes lèvres. Je sentis juste les crocs du monstre se refermer sur mon coup m’arrachant un incroyable cri de douleur. Je le sentais aspirer avidement mon sang, je le sentais partir de mon corps. J’essayais de le frapper, mais rien n’y faisait. Alors, au bout d’un moment qui me parut interminable, il retira ses crocs de mon cou. Ma vision se brouilla, ma douleur s’atténua. Je vis une dernière fois le monstre me lancer un regard de ses yeux rouges, puis je sombrai dans les ténèbres. Et quand je dis sombrer dans les ténèbres, c’est pas des paroles à la légère ! Et voilà, c’est tout ce que je sais pour l’instant. Désolé mais je vais m’arrêter là, j’ai vraiment trop mal à la tête, et d’ailleurs partout. Il fait trop noir maintenant je ne peux plus écrire, je te donnerais de mes nouvelles dans quelques jours…si ma notion du temps n’est pas encore perdue.
Cette fois, j’ai vraiment peur. En quittant la maison, j’ai signé mon arrêt de mort ! A croire que le malheur me poursuivra jusqu’au bout du monde ! L’homme est revenu dans la grotte. Il est partit il y a maintenant au moins trois bonnes heures. On a discutés, il n’a pas l’air si terrible, c’est autre chose qui me fait peur. Je lui ais demandé pourquoi, au restaurant, j’étais le seul à le voir, et pourquoi personne ne le voyait lui. Il m’a dit être en réalité un démon, venu d’un autre monde pour me chercher, moi ! Il n’a pas spécifié son nom, mais se n’est pas le plus important. Au début, je n’ai pas cru son histoire de démon, de son autre monde, tout ça quoi. Comme moi avec mon rêve tu te souviens ? Mais, à mon grand regret, son histoire c’est révélée être la pur réalité. Pourquoi me demandes-tu ? Eh bien parce que sa réponse à ma question pourquoi étais-je le seul à le voir était que…j’étais moi-même un…un démon. Il ne ma pas dit pourquoi il était venu me chercher spécialement MOI, et pas quelqu’un d’autre. Il y a certainement beaucoup de question auxquelles je n’aurais jamais de réponses. Il m’a juste dit que je ne faisais pas partis de ce monde. Que le miens se trouvait ailleurs. Mais alors, ou ??? Je pense que je ne vais pas tarder à le savoir. Il ma également dit que je ne tarderais pas à avoir ma transformation. Mais elle est passée il y a une heure à peu près. C’est pour ça que je ne suis pas venu te voir plus tôt. Si tu voyais à quel point j’ai changé ! Au début, cette métamorphose me faisait peur. Mais finalement, c’est peut être un nouveau tournant pour mon avenir ? Un très grand tournant, alors. Et puis de toute façon, si ma place est ailleurs, et que ma transformation est achevée, mon destin viendra peut être tout seul à moi. Mais je fatigue. Je sens que c’est la dernière fois que j’écris sur tes pages. J’aurais tellement voulus continuer ! Pardonne-moi, mon vieil ami. Mais je sens que je vais partir…ou ma place m’attends depuis maintenant bien trop longtemps je pense. La chose la plus bizarre, c’est qu’au moment de me transformer, c’était pile la minute de mes dix huit ans ! Je n’ais plus mal nulle part maintenant, et je vois dans le noir comme en pleine jour. Je sens que ma transformation va m’apporter plein d’avantage !...Mais à quand les défauts ?? Il vaut mieux que je n’y pense pas maintenant, je crois. Je crois que je ne vais pas regretter se monde…ni ma famille, surtout pas eux ! Mais même pas mes amis, ni rien. Rien, sauf toi. Tu m’as écouté pendant tant d’années, me comprenant, me soutenant lors des moments difficiles, on a bien rient ensemble aussi, sa oui ! Si tu savais comme je regrette de te laisser ici, dans cet endroit moisi. Tu aurais mérité mieux ! Mais la vie est injuste. Désolé, c’est mes derniers mots. Je fatigue, de plus en plus…mais j’essaye de rester éveillé le plus longtemps possible pour être avec toi. Mais c’est fini. On en aura passer des bon moments ensemble… Adieu.
J’aurais tellement voulus écrire ces lignes sur tes pages. Je suis dans un endroit bizarre, mais je ne vois personne, il fait nuit noire. Je vais aller voir dans l’établissement s’il y a quelqu’un debout. J’ai l’impression que je viens d’entrer dans le monde dont le démon me parlait, ma vie vient de basculer, j’ai hâte de voir la suite !